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LA VILLE D’AGADIR

Une baie superbe de sept kilomètres de sable fin, trois cents jours d’ensoleillement par an, une considérable infrastructure hôtelière…Plus de quarante ans après le terrible séisme qui semblait l’avoir frappé à  mort, la capitale du Sous, devenue l’une des principales cités touristiques du royaume, s’apprête à mettre de nouveaux atouts dans son jeu, grâce à son rôle d’ouverture sur les provinces sahariennes.

SE PROMENER
• ANCIENNE KASBAH
Visite : 45 mn
La route s’élève en corniche au flanc de la colline, dont les terrains portent encore les traces d’un grand bouleversement. Elle se termine par une esplanade où l’on gare la voiture (altitude 200 m)
« Crains dieu et honore ton roi », tel est le conseil (prémonitoire) que nous donne une sentence gravée en néerlandais en 1746 (les Pays-Bas possédaient en effet ici un comptoir sous l’autorité du sultan), au-dessus de la porte de la Kasbah. Difficile aujourd’hui, dans cette immense nécropole insérée dans des remparts. De là, vue sur le port et la ville blanche trouée de grands espaces verts et ourlée par le ruban blond de la plage ; Au-delà s’étend la plaine du Sous, bornée au loin par la masse grise de l’Anti-Atlas ; au Nord, le Haut Atlas s’annonce par ses contreforts piquetés d’arganiers.

• LE NOUVEL AGADIR
Visite : 1h
Fallait-il abandonner le site d’Agadir ? Etude faite, on décida d’éloigner la nouvelle ville de la zone dangereuse en l’installant plus au Sud. L’ampleur même de la catastrophe permettait de repenser l’agglomération sur des bases nouvelles. Ici, désormais, le béton fut roi. Les urbanistent, auxquels s’associèrent la plupart des architectes travaillant au Maroc à cette époque, tracèrent des quartiers cohérents, séparés par de grands espaces verts, desservis par un double réseau, routier et piétonnier ; tirant parti des dénivellations, ils disposèrent les immeubles de façon à ménager partout des points de vue sur la ville et la mer.

• CENTRE URBAIN
Contournant d’abord le quartier des délégations ministérielles groupées autour du bâtiment de la Province, vous atteindrez le tribunal, en grande partie dissimulé par les arbres. L’avenue des Forces Armées Royales mène à la mosquée Loubnane dont les lignes pures soulignent la blancheur ; elle s’emboîte en coin sur une place réservée aux piétons, autour de laquelle s’ordonnent boutiques et cafés.

• JARDIN DU Portugal ET MEMORIAL D’AGADIR
Appelé aussi JARDIN D’OLHAO, agréablement aménagé, qui commémore la signature de l’accord de coopération et de fraternité signé entre la ville d’Agadir et la cité portugaise d’Olhao. 14h30-18h30. Deux pavillons, situés au coin de l’avenue des FAR abritent une émouvante exposition de documents retraçant la catastrophe de 1960 : Outre des photos de la cité disparue, et d’autres impressionnantes – prise au lendemain de la catastrophe, on y reconnaît certains immeubles ayant survécu, en partie ou en totalité, au sinistre. 9h-12h30, 15h-18h. Rémunération au gardien qui pourra, le matin donner accès au parc, vide de tous promeneurs.
Après avoir traversé le quartier dense et vivant du nouveau Talborj, qui, avec ses petites maisons blanches et cubiques et son animation est le seul quartier d’Agadir dont l’ambiance soit véritablement marocaine, on aperçoit, à l’angle de la rue du 29 février et de l’avenue du Président Kennedy, la silhouette ocre et blanc de la mosquée Mohamed V.
Poursuivre l’avenue jusqu’à la rue du 18 novembre (que l’on prend sur la droite), elle longe le jardin Ibn Zidoun, vaste espace vert des plus agréables.
De l’autre coté de la rue, la caserne de pompiers – œuvre de Jean-François Zevaco – se signale par sa couronne de béton, qui abrite engins et bureaux, et son allègre campanile.
Poursuivre par l’avenue du Prince Moulay Abdellah et laisser la voiture prés de la place administrative.
La poste centrale est également due à Zevaco. On a qualifié sa façade de béton de «boite aux lettres traitée comme une sculpture monumentale ». L’aménagement intérieur fait une large place au cèdre pour les cloisons ajourées, les cabines, les écritoires, les sièges. L’hôtel de ville est de facture plus classique ; sa masse cubique enferme un vaste patio ombragé sur lequel s’ouvrent bureaux et couloirs. A Nord-Ouest de ce bâtiment, légèrement en contrebas, s’étend la place Prince Héritier Sidi-Mohammed, vaste espace réservé aux piétons, qui s’anime quelque peu à la tombée du jour lorsque la jeunesse locale s’y retrouve.

• MUSEE MUNICIPAL D’AGADIR (MUSEE DU PATRIMOINE AMAZIGHE)
Ouvert tous les jours sauf mardi. 9h-13h – 15h-19h (ven. 21h). 10 DH Possibilité de visite commentée (recommandée).
Installé dans un petit bâtiment ocre et blanc, ce musée, agréable et aéré, présente outre des expositions thématiques temporaires, une introduction à la vie des berbères du Sud marocain à partir d’objets réunis par Bert Flint.Pami les collections exposées, remarquez de superbes bijoux (colliers, bracelets et, surtout un frontal «tawnza », constitué de plaques de métal émaillées assemblées par des anneaux et des boucles), des vêtements brodés, des tapis dans les tons orange, de magnifiques portes et des objets et outils en bois. N’hésitez pas à  demander l’assistance d’un des jeunes guides du musée dont les explications, passionnantes et passionnées, remédieront avec bonheur au laconisme des panneaux explicatifs.

• LE BORD DE MER
Le quartier touristique et balnéaire, situé entre le boulevard Mohamed V et la mer, a fait l’objet d’un aménagement plutôt heureux, même si par  endroits pizzerias, magasins de cuir et autres bazars s’alignent en rangs un peu trop serrés. Le résultat, une ville où la culture marocaine est quasiment inexistante mais où l’on pourra apercevoir quelques morceaux d’architecture réussis (hôtel Al-Madina, hôtel des Almohades)

• VALLEE DES OISEAUX
Entrée sur le bd du 20 août, face au chemin d’accès à la plage. 9h30-12h30 – 14h30-18h. 5 DH (enf : 3 DH). Remontant jusqu’au bd Hassan II en passant sous le bd Mohamed V, ce havre de verdure, étroit et soigné, est peuplé de bananiers, lauriers roses et bougainvillées, et parsemé de bancs, lampadaire et tonnelles peints de couleurs vives. Il abrite un agréable petit zoo où évoluent dans des enclos chèvres, lamas, bouquetins, autruches. Un «tunnel » grillagé permet  de pénétrer au cœur de la grande volière qui abrite, entre autres, quelques flamants roses et un rare exemplaire d’ibis chauve.

• LA PLAGE
300 jours de soleil par an et une température particulièrement clémente ont fait la réputation de la plage d’Agadir, bordée d’un épais rideau d’eucalyptus, de pins et de tamaris fixant les dunes. Entre le port et l’estuaire de l’oued Souss, une baie aux eaux calmes et 6 km de sable fin permettent  aux pensionnaires des clubs de vacances, comme aux visiteurs e passage, de se livrer toute l’année aux joies de la baignade, de la voile, du surf, de la pêche, du cheval et de bien d’autres distractions.


ALENTOU
• NOUVELLES MEDINA A AGHROUD BEN SERGAO

4,5 km au sud. Quitter Agadir par l’avenue Mohamed V en direction d’Inezgane. Laisser à droite le supermarché Marjane et l’accès du Palais Royal. 1, 4 km après celui-ci, prendre à droite une petite route (signalisation) que l’on suit sur 900 m environ. Tél 0482802. 8h30-18h30. 40 DH. Accès par navettes au départ du kiosque «la médina d’Agadir-info » ou des principaux hôtels : tarif AR + entée : 60 DH
C’est un architecte italien, Coco Polizzi qui a conçu à l’intérieur d’une muraille cette «médina » miniature, petite dédale de ruelles qui, à terme, devrait couvrir une superficie de 12000 m2. Constructions de pisé, plafonds de style ‘tataoui », enduits y sont réalisés selon les méthodes traditionnelles. Au hasard des ruelles, vous découvrirez quelques ateliers d’artisans, pourrez déguster un thé à la menthe dans un café maure, ou vous poser dans l’un des restaurants marocains. Si l’endroit, pour qui a arpenté les médinas de Fès ou de Marrakech, a quelque chose de factice, il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’un lieu agréable, propre à donner un premier aperçu de la culture marocaine aux estivants d’Agadir.

CIRCUITS
• LE PAYS DES IDA OUTANANE

64 km au Nord-Est, puis 15mn à pied AR.
Les Ida Outanane sont une confédération de tribus berbères occupant, à l’extrême ouest du Haut Atlas, une zone tourmentée de Hauts plateaux calcaires qui plongent dans l’Atlantique aux environs du Cap Rhir. Nichés sur les pentes et dans les profondes vallées, ils vécurent longtemps en marge du pouvoir central et échappèrent à l’emprise des grands féodaux voisins. Il ne rallièrent le makhzen (gouvernement central) qu’en 1927.
Sortir d’Agadir et abandonner 12 km plus loin la route d’Essaouira pour prendre, à droite, peu avant tamrharkht la route signalisée « Imouzzer ».
On s’enfonce rapidement dans la montagne, striée de bancs calcaires impressionnants, piquetée d’arganiers et de doums (palmiers nains). Au-delà d’Oulma, on franchit un petit col qui débouche sur une vaste palmeraie entourée de pittoresques villages.

• GORGES DE l’ASIF N’TARHAT
Après avoir traversé l’asif Tamrhakht, la route s’encaisse brusquement entre les hautes murailles d’une vallée affluente, où règnent l’ombre et la fraîcheur. On longe la rivière, dont les eaux vertes et limpides courent parmi les rochers et les bouquets de palmiers.
Quittant le fond des gorges, la route les domine un moment avant d’atteindre un plateau bien arrosé où les palmeraies se succèdent. Accrochés aux pentes, un grand nombre de villages présentent leurs coulées de maison à toit plat ; ce sont des maisons de pierres, dont le niveau inférieur est occupé par l’étable, la famille vivant à l’étage. Souvent une galerie peinte en rouge supportée par des pieux de bois blanchi vient égayer la sévérité des formes.

• IMOUZZER DES IDA OUTANANE
Les maisons blanches de ce village, centre de la confédération des Ida Outanane, dominent une large dépression occupée par une palmeraie.
Devant la caserne, tourner à gauche pour emprunter la petite route goudronnée qui descend en lacet vers la palmeraie. A 4 km on arrive à un gué prés duquel on laisse la voiture. Continuer à pied (15mnAR) vers les cascades en suivant la rive droite de la rivière.

• CASCADES
Après avoir parcouru un chemin ombragé qui serpente à travers les champs d’orge irrigués, les oliviers et les amandiers où nichent les tourterelles, vous pourrez vous avancer jusqu’au pied des cascades qui jaillissent à plusieurs niveaux et s’écoulent le long des parois abruptes et lisses blanchies par les dépôts de tuf qui lui valent son surnom de «voile de la mariée ».

• TIFNITE ET LE SOUS MASSA
On traverse Inezgane, localité sans charme mais nœud routier important (vaste gare où sont regroupés les grands taxis).
Poursuivre jusqu’à Ait-Melloul où l’on prend sur la droite la route de Tiznit. A Inchadén, prendre à droite, la petite route, étroite et en mauvais état qui parcourt un paysage particulièrement pelé en direction de Tiznit.

• TIFNITE
Ce petit village de pêcheur, situé le long d’une belle plage abritée dans une anse, est une des excursions favorites des touristes séjournant à Agadir. Mieux vaut arriver tôt en ces lieux paisibles où les pêcheurs tantôt sur leurs barques, tantôt installés sur les rochers, munis de leur longue canne à pêche, attrapent ombrines, sars, calamars, tandis que les femmes ramassent des moules après les avoir triées sur les rochers, et que des troupeaux de chèvres ou de moutons paissent tranquillement aux abords du village.

• PARC NATIONAL DE SOUS MASSA
Halte migratoire privilégiée de nombreuses espèces d’oiseaux (grands échassiers comme les flamants roses et les hérons, sarcelles et balbuzards pêcheurs, et  l’une des dernières colonies d’ibis chauves, etc.), cette réserve naturelle plantée de roseaux et, vers l’intérieur, d’euphorbes, longe l’oued Massa, tourner jusqu’à son embauchure, où une belle plage bordée d’un large cordon de dunes permet une  balade sans fin à moins que vous ne choisissiez de prendre un café face à la mer, au complexe touristique de Sidi Rbat, animé pendant la saison estivale.

• D’AGADIR A LA PLAGE DE TAFALDA
D’Agadir à Tamri, la route, tracée entre montagne et mer, longe la cote, traversant les villages de Tamrhakt, de Tghazoute et d’Aghrod où les belles plages s’offrent aux baigneurs et aux surfeurs.
A Hauteur du cap Rhir et jusqu’à Tamri, la route bordée d’euphorbes cactoides longe des rochers contre lesquels les vagues d’une mer souvent forte à cet endroit viennent se fracasser.

• IMSOUANE
6 km après Tamri (célèbre pour ces bananeraies), une petite route sur la gauche, étroite mais fort bien revêtue, conduit au petit port de pêche d’Imsouane à travers un paysage vallonné. Au bout de quelques kilomètres, la route, tracée en corniche, domine la mer à environ 300 m d’altitude, offrant au regard l’Océan et la cote entre la pointe Imsouane et le Cap Rhir. De là, on a une très jolie vue sur la baie et les flots tumultueux de l’Atlantique. Au débouché de l’étroite vallée d’Imoucha se profilent les marabouts de Tildi ; sur l’autre versant, on aperçoit le gouffre d’Agadir Imoucha.
A l’arrière se pressent les premiers contreforts de l’Atlas, couverts d’une foret claire d’arganiers.
Au bout de la route, le petit village de pêcheurs d’Imsouane offre le spectacle de ses barques bleues échouées sur la plage, serrées au pied des humbles maisons, attendant qu’à l’aube les pêcheurs viennent les prendre sur leurs épaules pour les porter au bord de l’eau, guettant la vague qui leur permettra d’embarquer à destination de leur lieu de pêche. Mais ce village, devenu une destination appréciée des surfeurs, pourrait perdre à terme une partie de son caractère : il a en effet été choisi pour y établir deux unités de pêche ultramodernes, financées par le Japon dans le cadre de sa coopération avec le Maroc et, surtout, les travaux de voirie en cours laissent supposer l’implantation à plus ou moins court terme d’une station balnéaire.

• TAMANAR
Ce gros bourg, posé parmi les arganiers que les chèvres aiment à prendre d’assaut, abrite une intéressante coopérative d’huile d’argan.
Coopérative féminine Amal :
Cette coopérative féminine, pionnière en la matière, est ouverte depuis 1996 sous  l’égide de l’université Mohamed V de Rabat et du centre de Recherche et de Développement International du Canada. Ses buts : préserver un savoir-faire ancestral tout en assurant un salaire et une couverture sociale aux femmes adhérentes. Vous pourrez y suivre les différentes étapes de l’extraction de l’huile d’argan(pressage) et vous procurer quelques unes des spécialités qu’elle produit : l’huile d’argan (Arganati), les produits de beauté de la ligne Targanine et le délicieux «amlou beldi », pâte à tartiner à base d’huile d’argan, de miel et d’amandes : un régal pour les gourmands, doué qui plus est de vertus aphrodisiaques…si l’on en croit l’étiquette !

• PLAGE DE TAFALDA
A 4 km au Nord de Tamanar, prendre sur la gauche une route étroite qui parcourt un paysage vallonné avant de déboucher face à l’Océan (quelques passages difficiles, le revêtement n’y étant plus qu’un lointain souvenir) et de descendre en lacets serrés sur l’immense plage de Tafalda : là, devant quelques bâtiments blancs, des barques bleue tirées sur le sable attestent du dur labeur des pêcheurs travaillant dans cet endroit isolé qui a tout d’un «bout du monde ».

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